Au cours de l'interview, nous avons rencontré des problèmes de son.
Nous publions cependant les extraits audibles. Les autres extraits manquants ont été retranscris par écrit, et sont consultables ci-dessous. Avec nos sincères excuses.
Nous publions cependant les extraits audibles. Les autres extraits manquants ont été retranscris par écrit, et sont consultables ci-dessous. Avec nos sincères excuses.
Extraits manquants :
"Nous avions mis en place dans certaines écoles des "Pédibus". Ces pédibus, ce sont quelques parents qui encadrent plusieurs enfants pour venir à l’école à pied. Ils fonctionnaient le matin. On va être obligés d’arrêter les Pedibus, ce qui est dommage, parce qu’il avait de la convivialité, les parents se rencontraient, pouvaient échanger avec les enseignants. On va perdre toute cette pratique de relations. C’est dommage".
"La semaine de 4 jours n'est qu'un volet de la loi, il faut aussi parler du soutien scolaire de 2 heures aux enfants en difficulté. Ces deux heures sont bien entendu sous la responsabilité des enseignants. A ce niveau la mairie n'intervient pas, ce n'est pas dans ses compétences. Nous interviendrons sur l'organisation suivant les modalités choisies par les enseignants. Cela ne nous empeche pas d'avoir un avis. Pour nous, il nous parait difficile qu'un enfant fasse une demie heure de soutien le midi. Il a besoin d'une coupure. Nous somme prets à echanger à ce sujet avec les enseignants de la ville, ce que nous allons faire d'ailleurs".
"Nous avions mis en place dans certaines écoles des "Pédibus". Ces pédibus, ce sont quelques parents qui encadrent plusieurs enfants pour venir à l’école à pied. Ils fonctionnaient le matin. On va être obligés d’arrêter les Pedibus, ce qui est dommage, parce qu’il avait de la convivialité, les parents se rencontraient, pouvaient échanger avec les enseignants. On va perdre toute cette pratique de relations. C’est dommage".
"La semaine de 4 jours n'est qu'un volet de la loi, il faut aussi parler du soutien scolaire de 2 heures aux enfants en difficulté. Ces deux heures sont bien entendu sous la responsabilité des enseignants. A ce niveau la mairie n'intervient pas, ce n'est pas dans ses compétences. Nous interviendrons sur l'organisation suivant les modalités choisies par les enseignants. Cela ne nous empeche pas d'avoir un avis. Pour nous, il nous parait difficile qu'un enfant fasse une demie heure de soutien le midi. Il a besoin d'une coupure. Nous somme prets à echanger à ce sujet avec les enseignants de la ville, ce que nous allons faire d'ailleurs".
